rien ne se perd
rien ne se crée
tout se transforme
Du papier... mais aussi, de la filasse, plumes, perles et dentelles, objets détournés, boîtes, valises et sacs à main, racines et lichens, conserves, textiles.... tout y passe.
Evidemment, le papier reste la matière "première" avec laquelle Isabelle entretient un rapport charnel, elle le froisse , le déchire, le fait moisir et le tanne comme une peau pour "habiller" son univers féminin allant du miniature au grandeur nature.